Une initiation féminine à la fois lumineuse et sanglante, interprétée par un homme‑orchestre et une marionnettiste. Un spectacle de marionnettes, poétique et terriblement actuel emporté par la magie et l’univers de la compagnie.
Après l’intense et étonnant Tria Fata accueilli en 2021, la compagnie La Pendue revient avec une adaptation originale du conte médiéval La Manékine, mis en forme par les frères Grimm sous le titre La Jeune Fille sans mains. La Manékine raconte l’histoire d’une jeune fille dont les mains sont coupées pour satisfaire le diable, lui retirant ainsi, la liberté d’agir par elle‑même. Débute alors pour l’héroïne un périple initiatique, une quête de sa propre liberté. Une initiation féminine à la fois lumineuse et sanglante, interprétée par un homme‑orchestre et une marionnettiste qui assumera un beau paradoxe : devenir les mains de la « sans mains » pour rejouer les thèmes éternels. Au‑delà du spectacle, une fable d’hier pour évoquer les femmes d’aujourd’hui ! Un spectacle de marionnettes, poétique et terriblement actuel, emporté par la magie et l’univers de la compagnie.
La Cie a collaboré avec Ilka Schönbein, mais aussi avec le cinéaste Leos Carax pour lequel elle a créé et manipulé le personnage‑titre du film Annette (2021).